À Samuel Paty et à toutes les personnes assassinées en France et ailleurs après avoir été accusées d'atteinte à l'islam ("islamophobie").
Aimer, détester, critiquer, moquer, caricaturer, débattre, douter de toute idéologie, y compris religieuse, sont les respirations de la démocratie.
Par la volonté d'un djihadiste, fruit de l'atmosphère victimaire construite par l'islamisme politique et ses soutiens, Samuel Paty ne respire plus.
En mémoire à cet enseignant et à toutes les victimes, pour qu'ils ne soient pas morts en vain, ne cessons jamais de respirer, à pleins poumons, pour continuer à humer un de nos biens les plus précieux : la liberté d'expression.